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Normes de présentation matérielle - Méthode traditionnelle
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2. Citations et références (suite)
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2.1 On utilise des abréviations dans les notes en bas de page pour éviter de répéter la référence bibliographique au complet.
Exemples :
1 David Noakes, Boris Vian : son ouvre. Paris, Éditions universitaires, 1963, p. 56.
2 Ibid., p. 98.
3 Roland Barthes, Mythologies, Paris, Éditions du Seuil, 1957, coll. Points, p. 47.
4 Lucie Fossier et Marion Créhange, « Diplomatique médiévale et ordinateur », Annales : écomomies, sociétés, civilisations, 25 (janvier-avril 1970) p. 249.
5 Noakes, op. cit., p. 89.
6 Barthes, op. cit., p.18.
7 Fossier, loc. cit., p. 252.
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Abréviations
ibid. renvoie au même auteur et au même ouvrage dans des citations consécutives. Seul le numéro de la page diffère. (Voir note 2)
op. cit. renvoie au dernier livre d'un auteur cité de façon non consécutive. (Voir notes 5 et 6)
loc. cit. renvoie à un article de journal ou de périodique d'un auteur cité de façon non consécutive. (Voir note 7)
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2.2 Une autre méthode de présentation, utilisée de plus en plus couramment, consiste à donner le nom de l'auteur (sans prénom), le titre en abrégé et la page. Toutefois, la première référence bibliographique doit être complète.
8 Braudel, La Méditerranée., Tome I, p. 25
9 Groulx, Notre grande aventure., p. 74.
10 Noakes, Boris Vian., p. 154.
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Ce document a été conçu par Mme Claudette Trudeau, professeure au Département d'études françaises et au Centre d'écriture du CMR.
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